Jean-Louis STAIN

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Quand tu reviendras

Quand tu reviendras

J’mettrai un beau falzar

Des pompes à la Dumas

Et un blouson choucard

Quand tu reviendras

J’técrirai une chanson

Qui parlera que d’toi

Au son de l’accordéon

 

 

T’en prends plein la gueule

Et ça fait très mal

D’se trouver tout seul

Au milieu du bal

Du bal de la vie

Qui tourne à l’envers

T’en pleures ou t’en ries

Tu sais pas quoi faire

 

 

Quand tu es partie

Et qu’jai vu qu’la chaise

La table et le lit

J’ai eu comme un malaise

Quand tu es partie

Sur l’papier couché

J’ai su que ma vie

Tu l’avais chiffonnée

 

 

T’en prends plein la gueule

Et ça fait très mal

T’imaginer seule

Au milieu du bal

Du bal de la vie

Ou tu danses sans moi

Tu chantes et tu ries

Mais dans d’autres bras

Paroles et musique Jean-Louis STAIN

Quand tu reviendras

J’te jure, j’dirai rien

J’te tendrai les bras

En serrant les poings

Quand tu reviendras

J’técrirai une chanson

Qui parlera que d’toi

Au son de l’accordéon

 

T’en prends plein la gueule

Et ça fait très mal

De s’coucher tout seul

Sur ton lit bancal

Tu dors en rêvant

Que rien n’est perdu

Tu réveilles souvent

Au bal des cocus

 

Quand tu es partie

Pour qui et pourquoi

J’ai bien crû qu’ma vie

Allait s’arrêter là

Quand tu es partie

J’ai été sonné

Je suis au tapis

J’ai du mal à m’relever

 

J’en prends plein la gueule

Mais ça m’est égal

Avec toi, parole

J’veux retourner au bal

Au bal de la vie

Qui tourne à l’endroit

Et j’suis sûr, Chérie

Que tu reviendras !

 

 Quand tu reviendras

J’mettrai un beau falzar

Des pompes à la Dumas

Et un blouson choucard

Quand tu reviendras

J’técrirai une chanson

Qui parlera que d’toi

Au son de l’accordéon

Sur la photo, c’est pas les pompes à la « Dumas »,

C’est les miennes !

J’pourrai jamais m’acheter des pompes à la « Dumas »…

Vous vous rendez compte, un smicard dans chaque panard.

En y regardant bien, si on remonte des pompes au nœud de cravate,

C’est une PME ambulante de dix personnes, ce mec là !!!

Cliquer ici pour écouter l’extrait =>

Copyright 2008 - Jean-Louis STAIN