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Jean-Louis STAIN |
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Dernières notes |
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Lulu du canal |
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Il glisse, le chaland Qui remonte le temps Sur le canal Saint Martin De l’ombre à la lumière M’apparaît la taulière Du p’tit bistro, du coin Notre Lulu du canal On en avait le béguin L’avait d’l’Irma la douce Qu’était pas vraiment douce Mais ça nous allait bien
Notre Lulu du canal On en avait le béguin L’avait d’l’Irma la douce Qu’était pas vraiment douce Mais ça nous allait bien
Du Lundi au Samedi De dix heures à minuit Lulu menait le bal Je t’aime, un peu, beaucoup Très souvent, pas du tout Un sacré récital Entraînant son orchestre La baguette à la main Ses rimes étaient magiques Le canal sa musique Et nous ses musiciens
Entraînant son orchestre La baguette à la main Ses rimes étaient magiques Le canal sa musique Et nous ses musiciens
On venait la voir de loin Lulu se frottait les mains Passe, Tarot ou Poker Il gagnait, il perdait Robert le marseillais N’en avait rien à faire Et tout au bout du bar Le porteur de piano J’tait les bobs sur la piste Avec un drôle d’artiste Dédé, l’ancien julot
Et tout au bout du bar Le porteur de piano J’tait les bobs sur la piste Avec un drôle d’artiste Dédé, l’ancien julot
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Paroles et musique Jean-Louis STAIN |
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Un triste soir d’hiver Quand tout va de travers On en perd son chemin Tout semble se briser Du canal Saint Martin Lulu s’en est allée Elle est partie si loin Elle est montée si haut De Louis Blanc à Bastille Nos cœurs à la dérive Flottaient au fil de l’eau
Elle est partie si loin Elle est montée si haut De Louis Blanc à Bastille Nos cœurs à la dérive Flottaient au fil de l’eau
Coulait toujours l’canal Continuait le bal Y avait plus notre Lulu Trop triste le refrain Partaient les musiciens On était tous perdus L’avait l’cœur à l’envers Le porteur de piano Sans pouvoir se cacher I’s’mettait à pleurer Dédé, l’ancien julot
L’avait l’cœur à l’envers Le porteur de piano Sans pouvoir se cacher I’s’mettait à pleurer Dédé, l’ancien julot
Il glisse, le chaland Qui remonte le temps Sur le canal Saint Martin De l’ombre à la lumière M’apparaît la taulière Du p’tit bistro du coin Notre Lulu du canal On en avait le béguin L’avait d’l’Irma la douce Qu’était pas vraiment douce Mais ça nous allait bien
Notre Lulu du canal On en avait le béguin L’avait d’l’Irma la douce Qu’était pas vraiment douce Mais ça nous allait bien |
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Chère Lulu, « Le Chaland », c’était ton rade, On t’a tous tellement aimé Que le canal Saint Martin s’en rappelle encore ! |
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Copyright 2008 - Jean-Louis STAIN |